comment rester positif quand tout va mal
VoiciComment Rester Positif même quand tout va mal même quand le monde semble s'éfondrer autour de vous. Cliquez sur le lien pour Télécharger le guide de
Toutd’abord, celle-ci ne protège pas à 100 % du Covid-19, on peut en effet quand même l’attraper si on est vacciné. Ensuite, les symptômes ne sont pas tout à fait les mêmes.
Sélectionnezles candidats à votre amitié et laissez le temps, les rencontres (que vous proposerez dans un premier temps) et la magie opérer. Multipliez les rencontres car cela améliorera d’une part votre capacité à vous faire des amis et d’autre part les opportunités à saisir. A présent que vous avez vos 6 étapes pour vous faire
2 Ce n'est pas si grave. 3. Ça aurait pu être pire. 4. Je vais réfléchir à la meilleure façon de réagir, mais exprimer ma colère tout de suite ne pourra que me desservir. 5. Je suis tellement énervé, je mérite de faire une pause. 6. Je suis maître de mes pensées. À moi de me concentrer sur des pensées positives.
Déjàtout petit, un enfant peut ressentir de la jalousie lorsque ses parents le confient à une nounou ou à un(e) baby-sitter. Il ne comprend pas pourquoi aller au cinéma ou se rendre au travail serait plus intéressant que de rester avec lui. Bien sûr, il ne le pense pas aussi précisément. Mais il se sent abandonné, frustré et jaloux.
Créer Un Site De Rencontre Avec Joomla. Comment rester positif quand tout va mal? Même quand on a l’impression que tout s’effondre autour de nous, ce n’est jamais réellement le cas. On s’en rend compte quand la tempête passe. Mais il y a des moyens très simples et rapides pour vous aider à faire passer plus vite cette étape difficile et surtout, de manière plus agréable. Le seul vrai et simple secret pour trouver le bonheur, c’est de renforcer votre positivité et commencer à voir le verre à moitié plein en toute circonstance. C’est facile de sourire, chanter et danser quand tout va bien dans sa vie. Cependant, il y a des jours où on a l’impression que le ciel nous tombe sur la tête, que notre monde s’arrête, ou l’on a simplement une petite déprime passagère. Et dans ces situations-là, on ne sait pas vraiment comment rester positif quand tout va mal et garder un état d’esprit positif, c’est plus compliqué. Pourtant, c’est là qu’on en a réellement besoin ! Rester positif en toute circonstance, vous aidera à être heureux quand ça va, et de surmonter les difficultés plus facilement, quand ça ne va pas. Face à une situation difficile, chaque individu réagit selon la façon dont il nourrit quotidiennement son mental positive ou négative. » A cité Esther Jonhson. Comment rester positif quand tout va mal en pleine pandémie par exemple... Je ne vais pas vous mentir, la situation sanitaire actuelle m’a clairement poussée à rédiger un article à ce sujet. Je sais pertinemment que cette situation affecte certaines personnes, peut-être vous, et c’est normal. Mais lorsque vous avez l’impression que rien ne va autour de vous, il y a des choses que vous pouvez faire pour rester positif en toute circonstance, et voir la vie avec des Rosarotte Brille » malgré tout, comme disent les Allemands la vie en rose. Cela peut-être la situation actuelle qui vous déprime, ou un élément personnel de votre vie. Peu importe. Lorsque quelque chose ne va pas, on a tendance à broyer du noir, s’imprégner d’horribles pensées négatives et plus vous penser de manière négative et plus vous attirez les situations négatives. Il y a et aura toujours une raison de rester positif quand tout va mal Pourtant, il y a toujours au moins un élément de positif dans chaque situation négative. Et d’ailleurs, je suis la professionnelle pour jouer à ce jeu. Dans mon couple, lorsque mon copain vit une situation difficile, négative, j’arrive toujours à lui trouver un élément positif qui arrive grâce à cette situation négative. Et devinez quoi, ça l’aide à remonter la pente. 5 astuces simples et rapides que vous pouvez mettre en place pour rester positif quand tout va mal 1 Comprendre que rien ne dure et que nous sommes beaucoup plus résiliant que nous le pensons Nous, humain, avons un biais cognitif une erreur de perception de notre cerveau, qui fait que lorsque nous faisons face à une situation négative, ou désagréable, nous pensons qu’elle sera pire que ce qu’elle sera réellement. Bon, pas de panique, je vais vous expliquer cela avec un exemple pour rendre l’information plus digeste. Imaginez-vous faire le test du VIH. Votre test est positif. Vous êtes séropositif. Maintenant, notez votre niveau de bonheur sur une échelle de 1-10. Vous avez noté un niveau de bonheur proche de 0, j’imagine. Et si je vous dis que vous prédisez extrêmement mal votre niveau de bonheur ? En réalité, votre niveau de bonheur ne changera pas, voire très peu. Je n’invente rien, des études ont été faite avec la même problématique et si vous êtes curieux, je vous invite à aller découvrir cette étude par vous-même. C’est un fait, nous ne savons pas prédire les événements futurs et les émotions que nous allons ressentir. Lorsque quelque chose d’horrible nous arrive, on se focalise sur cette chose. Il n’y a plus que ça qui compte. C’est un peu comme si le ciel nous tombait sur la tête. Avez-vous déjà fait une crise d’angoisse ? Lors d’une crise d’angoisse, on se focalise tellement sur la peur que plus rien n’a d’importance. C’est la même chose lorsque l’on vit une rupture. On croit que le ciel nous tombe sur la tête. Puis, on s’en remet, finalement. Et on se rend compte, que finalement ce n’était pas si horrible que ça. Ce que l’on ne prend pas en compte, c’est que quelques temps après, le cours de notre vie reprend. Même si on est Séropositif par exemple. Votre cerveau imagine mal l’avenir, et en particulier ce qui vous rend heureux ou non. Vos prédictions au sujet de l’avenir échouent de 3 manières Votre imagination a tendance à ajouter et à supprimer des détails sans le réaliser. Par exemple, vous vous faites quitter par votre partenaire, alors vous ajouter le fait qu’il ne vous a jamais aimée, alors que ce n’est pas la raison de la rupture et que c’est une information complétement imaginée. Vous confondez le futur et le présent. Par exemple, vous pensez que si vous souffrez aujourd’hui, vous souffrirez aussi demain, sans réelle logique. Vous n’arrivez pas à imaginer la situation meilleure que maintenant. En résumé, nous ne nous rendons pas compte à quel point nous sommes résilients. Nous sous-estimons notre capacité à surmonter les tempêtes émotionnelles et rester positif malgré tout. Apprendre à gérer ce biais pour rester positif quand tout va mal Bon, maintenant que vous avez pris connaissance de ce biais, de cette erreur que notre cerveau commet, il faut s’en débarrasser, n’est-ce pas ? Il faut que vous compreniez que nous ne pouvons pas réellement nous débarrasser de notre biais cognitif. Mais nous pouvons apprendre à le gérer et vivre avec. Donc la première chose, c’est de le connaître, puis la seconde, c’est de le reconnaître lorsqu’il se présente. Le troisième, c’est d’apprendre à le gérer. À présent, vous le connaissez, donc vous devriez être en mesure de le reconnaître lorsqu’il se présente. Pour apprendre à gérer ce biais, vous en saurez plus dans les prochaines astuces ! Si vous souhaitez en savoir plus sur ce biais cognitif et son fonctionnement, je vous invite à lire le livre stumbling of happiness » de Daniel Gilbert, un auteur et psychologue américain. Ce livre est malheureusement disponible uniquement en anglais. 2 Concentrez-vous sur le positif en ressentant de la gratitude pour rester positif quand tout va mal Quand on vit une situation négative, notre instinct naturel nous concentre sur des pensées négatives et ce qu’il ne va pas. Essayez de trouver le positif dans le négatif. Par exemple Une rupture, c’est l’occasion de trouver un partenaire plus compatible avec vous Un licenciement, c’est l’occasion de faire le bilan sur votre vie et trouver votre Ikigaï et trouver un job qui vous correspond parfaitement Un confinement, c’est l’occasion de prendre le temps de faire le bilan sur votre vie et améliorer votre vie en vous formant par exemple Trouver le positif dans le négatif, ce n’est pas facile, je vous l’accorde. Mais il y a toujours du positif dans votre vie, même dans le pire. Pour vous aider, lorsque vous vous retrouvez dans cette situation, arrêtez-vous et cherchez 3 choses pour lesquelles vous ressentez de la gratitude. Par exemple, votre café du matin, le rire d’un enfant par la fenêtre, votre animal de compagnie, la couleur du ciel, etc. La gratitude est un excellent moyen de rester positif quand tout va mal. D'ailleurs la de nombreux bienfaits, aussi bien physiques que psychologiques tels que L’amélioration du sommeil La diminution des douleurs La réduction du stress L’augmentation de la durée de vie L’augmentation de la confiance en soi et de l’estime de soi L’augmentation du niveau de bonheur Les effets de la gratitude, lorsqu'ils sont pratiqués quotidiennement, peuvent être presque les mêmes que certains médicaments, tels que les anxiolytiques. 3 Planifiez des événements futurs agréables pour rester positif en toute circonstance Plus vous vous projetez en pensant de manière positive et plus vous vous sentirez mieux maintenant. Faites des projets agréables, des événements qui vous rendent heureux et pour lesquelles vous vous réjouissez, dans le futur. Une autre méthode, c’est de vous trouver une mission liée à ce que vous traversez et prenez cette étape compliquée de votre vie comme un signe de l’univers que vous devez saisir. 4 Souvenez-vous que la situation est temporaire pour rester positif Tout fini par passer et un futur meilleur vous attend. Concentrez-vous sur la certitude qu’il existe des solutions à ce que vous traversez et que le futur sera radieux. Souvenez-vous de vos anciennes souffrances, de vos anciennes situations difficiles et rappelez-vous que vos souffrances passées, ont fini par passer. Rappelez-vous que chaque mauvais moment ou triste est toujours suivi d’un moment de joie. 5 Utilisez les affirmations positives pour rester positif quand tout va mal Les affirmations positives sont des déclarations positives déclarant des objectifs spécifiques dans leurs états achevés. Par exemple Je suis incroyablement heureuse dans mon travail de rêve. » Mon corps me plaît infiniment et j’en prends soin. » Ou Je suis en bonne santé ». On peut traduire Affirmations positives » par pensée positive ». En récitant régulièrement des affirmations positives, vous allez tout simplement reprogrammer votre subconscient à penser positif. Comme je vous l’ai déjà brièvement expliqué dans le podcast N° 3 au sujet des affirmations positives, votre cerveau ne fait pas la différence entre une situation réelle et une situation que vous avez imaginée ? Toute cette technique vise à utiliser ce biais de notre cerveau. De plus, nous pouvons avoir qu’un type de pensée à la fois, soit positive, soit négative. Si vous vous forcez à avoir des pensées positives, il n’y aura pas de place pour les pensées négatives. Vous pouvez utiliser les affirmations positives de manière quotidienne, et c’est la meilleure option. Cependant, cela ne vous empêche pas d’utiliser les affirmations uniquement dans une situation difficile pour vous aider à rester positif quand tout va mal. Si vous vous trouvez dans une situation négative qui vous dépasse, récitez-vous des affirmations positives telles que Tout se passe bien et tout se passera merveilleusement bien 1 Je suis calme et serein. 2 J’ai confiance en moi et en la vie. 3 Je lâche prise et je fais confiance à l’Univers. 10 Affirmations positives pour rester positif quand tout va mal Je vous propose une liste de 10 affirmations positives à vous réciter afin de vous aider à rester positif quand tout va mal. Il vous suffit de télécharger les notes de cet article gratuitement bien sûr et vous accéderez à la liste dernières pages des notes
Comment améliorer sa gestion du stress? Voici une question qui revient de façon récurrente. Ce matin encore, et ce qui fait suite à bien d’autres auparavant, j’ai reçu beaucoup de messages à propos de cette relation si particulière qui existe entre l’angoisse et le stress. Dès lors, la question se pose de savoir comment mettre en place une gestion du stress qui soit efficace et qui vous permette de gérer le stress associé à des problèmes d’angoisse et d’anxiété. Beaucoup d’entre vous m’ont expliqué être victime d’états de tensions à la fois physiques et psychiques et vous m’avez décrit les symptômes de stress que vous avez identifié. J’ai aussi identifié beaucoup de ces symptômes de stress comme étant ceux dont j’ai tant souffert à une époque de ma vie. Dans cet article, je vais vous préciser la définition du stress. Je vais aussi vous expliquer la relation qui existe entre le stress et les angoisses. Enfin, en quoi les angoisses favorisent le stress. Enfin, comment rendre simple la gestion du stress, d’une façon générale, grâce à des techniques simples et efficaces. Vous bénéficierez aussi de quelques conseils supplémentaires. Gestion du stress Quelle en est la définition?Quels sont les symptômes du stress?Gestion du stress Identifier les symptômesGestion du stress Quel lien avec l’anxiété et l’angoisse?Comment faire diminuer le stress?Quelle est l’origine du stress?Mauvaise gestion du stress Les conséquencesLes effets du stress sur le corpsMaladies dues au stressGestion du stress Les facteurs cognitifsGestion du stress et mise en situationComment réagir face à une situation stressante?Gestion du stress Votre cerveau vous parleUne technique simple et étonnante pour faciliter la gestion du stressGérer son stress à l’oralGestion du stress grâce à la respiration abdominaleGestion du stress Prendre soin de soiGestion du stress La relaxationGestion du stress Comment mieux gérer son stress?Gestion du stress Comment ne plus être stressée?Une question de choixAgissez avant d’être victime d’une catastropheGestion du stress Quels sont les meilleurs remèdesLa cohérence cardiaqueLa méditation de pleine conscienceLe sport est un moyen efficace de lutter contre le stressLes étirements pour limiter les tensionsLa cure de magnésiumLes infusions et les huiles essentiellesUn meilleur équilibre alimentaireGestion du stress L’homéopathie est-elle 1 bon choix?Comment çà marche?Une question de moléculeLe Gelsemium Serpervirens 15 CHIgnatia amara 30 CIArgentum Nitricum 15 CHMoshus 9 CHSédatif PCGestion du stress grâce à la thérapie comportementaleLa prévisibilitéLa progressivitéLa planificationLa consolidationPratiquerGestion du stress Le stress post traumatiqueGestion du stress Comment évaluer un stress post traumatique?Gestion du stress Comment gérer un stress post traumatique?Verbaliser les émotionsLa reconnaissanceGestion du stress Pourquoi est-il si important de traiter le stress post traumatique?Gestion du stress Traitement du stress post traumatique Gestion du stress Quelle en est la définition? Une fois n’est pas coutume je me permets de vous rappeler que l’angoisse est une peur projective. C’est la conséquence entre un événement ou une situation que vous craignez de ne pouvoir gérer, et le fait de vous imposer de gérer cette situation. Soit écrit en passant, c’est d’ailleurs comme cela que, sur la foi de stress divers, vous pouvez ne plus vous sentir en mesure de gérer un problème. Partant, devant l’afflux d’émotions, vous courrez le risque d’être victime d’une crise d’angoisse voire de crise de panique. Ces différentes craintes proviennent notamment d’une peur de ne pas réussir à gérer ses émotions et donc de ne pas être en mesure de faire face à la situation. Le stress est constitué d’un certain nombre d’éléments émotionnels, plus ou moins importants, positifs ou négatifs. Ils sont le fruit de toutes les situations que vous vivez dans une journée, mais aussi de toutes les émotions accumulées au cours des derniers jours, semaines, mois… Qu’est-ce que cela veut dire ? Cela signifie que vous le vouliez ou pas, il est particulièrement important que vous soyez stressés ! En effet, il y a autant de risques à être peu voire insuffisamment stressés qu’à être victime de stress trop importants voire excessifs. Il en est de même pour la tension trop ou trop peu de tension, dans les deux cas, cela représente un danger pour votre santé. Si vous n’êtes pas stressé en suffisance, vous risquez de mourir ! Si vous êtes trop stressé, vous risquez de mourir aussi ! Cela pose donc la nécessité d’un stress positif. Partant, celui du stress négatif. De fait, il n’y a pas de bon stress ou de mauvais stress. Ainsi, la séduction qui peut être un jeu » très amusant est un facteur de stress. Pour certains il sera négatif, pour d’autres il sera positif. La seule difficulté du stress c’est d’être, et qui plus est de demeurer autant que faire se peut, à un point d’équilibre du stress. Quels sont les symptômes du stress? Le stress est une réaction normale et naturelle face à une situation difficile. Ainsi, le milieu professionnel est souvent producteur d’un stress important, car on doit y supporter la pression hiérarchique tout en jonglant avec ses responsabilités et ses collègues. Le problème, c’est que le stress peut s’infiltrer insidieusement dans le quotidien et avoir des conséquences plus graves sur le long terme. On doit donc apprendre à le reconnaître et à le gérer. A cette fin, le plus simple et le plus pragmatique consiste à identifier les symptômes du stress. On classe généralement les symptômes du stress en deux catégories distinctes les symptômes physiques d’un côté et les symptômes psychiques et émotionnels de l’autre. Si vous ne remarquez que certains symptômes du stress, cela ne veut pas dire que vous ne souffrez pas du stress. Les symptômes physiques les plus courants sont Tensions musculaires Elles peuvent provoquer des douleurs musculaires et un inconfort, par exemple des trismus dans la mâchoire. Troubles du sommeil Généralement des insomnies ou des réveils brutaux au milieu de la nuit avec l’impossibilité de se rendormir. Manque d’appétit Ou, au contraire, une hyperphagie compensatrice. Maux de tête intenses, surtout en fin de journée, après le travail. Vertiges et des nausées. Inconfort et douleurs gastriques et digestifs, voire des vomissements en cas de stress intense Les symptômes du stress en termes psychiques et émotionnels les plus courants sont Inquiétude constante Pensées obsessionnelles Irritabilité Difficultés de concentration Difficultés à prendre des décisions Augmentation de la consommation d’alcool, de tabac et de médicaments Augmentation des comportements à risque Agressivité et violence Difficultés à maintenir des relations sociales satisfaisantes Sur le long terme, les symptômes du stress chronique peuvent peser lourdement sur l’organisme. Ils peuvent également pousser ceux qui en souffrent à s’isoler. Identifier le stress et le soigner n’est donc pas une simple affaire de confort, mais une nécessité pour la santé mentale et physique de ceux qui en souffrent. Gestion du stress Identifier les symptômes Avant d’apprendre à gérer son stress, il convient en premier lieu d’apprendre à identifier les différents symptômes qui y sont rattachés. Comme vous le savez, quand vous êtes confronté à divers stress, ceux-ci s’expriment à l’aide des symptômes de stress ci-après Tensions physiques musculaires principalement Difficultés à déglutir Nécessité de se réhydrater très souvent Pressions intracrânienne Émotions très controversées passer de l’excitation à l’abattement ou d’une vision positive à une vision négative sans transition Agressivité voire violences verbales ou physiques Sentiment d’impuissance Troubles de l’endormissement Problèmes du sommeil Troubles alimentaires Problèmes de libido Consommation excessive de substances psycho actives alcool, stupéfiant, médicaments Maux d’estomac Ballonnements Douleurs articulaires Mal de dos Ces symptômes sont des facteurs d’angoisses. Pour en apprécier la dangerosité, je vous invite à préciser leur intensité entre 0 et 10 note la plus forte. Dès lors, on peut parler de stress à compter du moment où vous ressentez au moins trois de ces symptômes parmi la liste proposée. Si vos calculs vous rapprochent de la note 15, je vous invite très fortement à agir! Si vous ne faites rien, vous savez ce qu’il risque de vous arriver. Il devient donc urgent que vous sachiez quelle gestion du stress adopter pour vous protéger de ses conséquences. Gestion du stress Quel lien avec l’anxiété et l’angoisse? Pour que les choses soient plus claires, je vais prendre un exemple. Très souvent, quand les enfants s’amusent entre eux, passé un certain délai, il y a une espèce d’émulation, d’excitation, de joie qui se mêle à leurs jeux. Les enfants jouent ainsi jusqu’au moment où ils se tendent, qu’ils passent du côté du trop ». Alors qu’ils jouent, donc sont dans une dimension joyeuse et positive, ils arrivent à entrer dans un conflit. Les enfants s’opposent car l’excitation de l’un met l’autre mal à l’aise. Dès lors, chacun se défend. Les intérêts territoriaux des uns ou des autres et les enjeux associés génèrent des conflits. C’est comme cela que les enfants s’exposent à des rodomontades de la part de leurs parents. Parfois, cela va jusqu’à des punitions ou des sanctions plus ou moins importantes. Dans les cas les plus extrêmes, cela peut même aller jusqu’à des fessées, des claques, ce qui en soi, n’est pas une solution. Les enfants sont le plus souvent séparés. Ils entendent leurs parents leur reprocher de ne savoir jouer tranquillement. Moralité tout le monde, enfants compris, finit par souffrir. Pourquoi ? Parce-que tout le monde a réagi face à des stress perçus. Certes, les réactions sont différentes selon la personne et son degré de résistance au stress. Le stress, c’est précisément cela une succession d’émotions agréables et désagréables. Celles-ci finissent par construire ce qu’il est convenu d’appeler un escalier de la pression . Cela signifie que chaque émotion se superpose à une autre. Ainsi ce crée un état de tension qu’il devient de plus en plus difficile de canaliser, un état de tensions qui, par conséquent, échappe à votre contrôle. Comment faire diminuer le stress? Grâce à d’autres articles comme Comment soigner l’angoisse », vous savez comment vous comportez en cas d’angoisse, de crises d’angoisses, ou de crise de panique. Pour diminuer – ou plutôt ré équilibrer – vos modes de gestion du stress, et ainsi contrôler positivement vos angoisses, vous trouverez ci-dessous quelques exercices et conseils avisés. Auparavant, conservez en mémoire que le mot stress a un lien avec un sentiment d’oppression. Stress égal… détresse ! En effet, le stress est constitué d’un ensemble d’informations relatives à tout ce que vous vivez. Ces éléments sont accumulés par le cerveau et forment, avec le temps, ce que l’on appelle la spirale de la pression », qui ressemble de près à une véritable spirale infernale. Il y a 2 types de stress le stress négatif, et le stress positif. Il s’agit donc matière à satisfaire une gestion du stress opportune. Quelle est l’origine du stress? Dans ces 2 cas afférents à la gestion du stress, ces informations, agréables ou désagréables, se cumulent au point que vous ayez du mal à les gérer. Quand j’écris … du mal à les gérer », j’entends par là que c’est un problème si vous n’arrivez pas à vous en défaire. Ce que vous conservez » dans la tête est toxique. Cela vous occupe au point que vous ne pouvez pas lâcher prise et passer à autre chose. Par exemple, une surexcitation liée à une situation agréable peut causer un problème, au même titre que peut l’être une information, ou une situation, douloureuse. Le stress provient donc du fait que votre cerveau tente de trouver des solutions à un problème, mais il n’y parvient pas. Il essaye de retrouver un point d’équilibre, un point d’appui pour faciliter mieux gérer son stress. Mais le simple fait de se dire » je n’arrive pas à gérer mon stress » est une source de stress à part entière. Comme il n’y arrive pas, il vous fait penser à ce qui risque de vous arriver. Vous devez trouver une solution. Vous rentrez dans ce que l’on appelle de l’anticipation. Ce qui, du coup, vous motive pour en trouver une de solution. Mais, vous avez beau y réfléchir à cette solution, la souhaiter, rien ne vient. Vous vous sentez de plus en plus tendue, au point que cela vous prend toute la journée pour tenter, en vain, de retrouver la paix. Et alors qu’au terme de cette journée, aucune solution ne s’est faite jour, vous risquez d’aller vous coucher d’un état émotionnel et physique pire que le matin. Et cela risque de se terminer par une angoisse nocturne ou, à tout le moins, une insomnie ! Vous n’aurez pas pu, ou su, mettre en place un gestion du stress adaptée à votre situation. Mauvaise gestion du stress Les conséquences Le stress peut provoquer des douleurs immédiates, mais également sur le long terme. Dans un premier temps, les symptômes du stress provoquent des tensions musculaires. Le plus souvent, la personne stressée réalise seulement en fin de journée combien ses muscles sont tendus et douloureux. Elle peut avoir du mal à rester en place et ressentir le besoin de s’agiter pour libérer toutes les tensions accumulées. Réaliser quelques étirements et faire du sport est une bonne solution pour diminuer les symptômes du stress. Les personnes stressées souffrent aussi plus souvent de maux de tête. On ne doit pas confondre ces céphalées avec une migraine. Dans le cas des maux de tête induits par le stress, c’est la tension artérielle et le relâchement de cette tension forcé par l’afflux sanguin qui provoque la douleur. Ces maux de tête ne sont pas, contrairement à la migraine, handicapants. Par conséquent, les personnes stressées vivent et travaillent avec cette migraine, malgré la douleur parfois intense, allant jusqu’à donner la nausée. Enfin, parmi les douleurs les plus fréquentes, on retrouve aussi les douleurs cardiaques et intercostales. Il est parfois difficile de faire la différence entre les deux, mais elles restent bénignes sur le court terme. Ces douleurs sont aussi dues aux tensions musculaires. Le stress favorise la tachycardie, ce qui peut parfois entraîner quelques douleurs ou des sentiments de malaise. Ces tensions concernent aussi les muscles intercostaux et accentuent la sensation de douleur. Bien sûr, le stress peut aussi entraîner des douleurs digestives communes et bien connues. Les effets du stress sur le corps À plus long terme, ces tensions chroniques et répétées ont des conséquences plus problématiques. Les tensions musculaires entraînent des contractures, mais aussi usent les ligaments et les articulations. Les symptômes du stress et, partant, le stress lui même, stimulent effectivement le développement d’arthrose et la rupture des ligaments. Chez ceux qui ont recours au sport pour gérer l’anxiété, le stress favorise malheureusement les blessures. Les conséquences physiologiques du stress peuvent aussi être importantes. Le stress provoque de la tachycardie dans bien des cas et favorise l’hypertension artérielle. Il est également responsable de nombreuses douleurs gastriques. Parmi les pathologies les plus fréquentes, on retrouve les gastrites et les reflux gastriques. L’acidité excessive de l’estomac a un impact sur le poids en augmentant les risques d’obésité, mais également sur la santé des dents dont elle fragilise l’émail. Maladies dues au stress Le lien entre le stress et certaines maladies n’est pas toujours facile à établir clairement. En fait, le stress semble rarement être l’unique raison derrière une maladie. Néanmoins, les symptômes du stress jouent un rôle prépondérant dans le développement de certaines pathologies, notamment en favorisant la mise en place de comportements délétères. Par exemple, le stress provoque de nombreuses maladies digestives, allant de l’ulcère jusqu’au cancer, en passant par la simple gastrite. Dans tous les cas, l’acidité excessive du système digestif est mauvaise pour la santé à long terme. Pis encore, elle pousse ceux qui en souffrent à grignoter en permanence tout au long de la journée. Ainsi, une mauvaise alimentation aggrave la situation. Sur le long terme, les symptômes du stress jouent aussi un rôle important dans le développement de maladies cardio-vasculaires. Dans le cas de l’hypertension, leur rôle n’est pas totalement clair. Par exemple, le stress favorise la tension artérielle, même si l’alimentation et l’absence d’activité physique restent les principales causes. Deux causes que le stress influence d’ailleurs aussi. Enfin, et surtout, les symptômes du stress sont à l’origine du développement d’un ou plusieurs troubles anxieux. Des troubles psychiques handicapants qui se soignent très bien. Gestion du stress Les facteurs cognitifs Dans votre quotidien, vous êtes confronté à tout un tas de sollicitations, et ce dans tous les domaines de votre vie affectif, sentimental, économique, social, professionnel, etc.. Toutes les sollicitations dont vous êtes l’objet induisent que vous y répondiez de la meilleure façon possible. Vous allez répondre conformément à ce que vous ressentez. Dans cette réponse, vous tiendrez compte du sens des autres, comme des objectifs que vous-même ou d’autres vous ont assignés, avec votre accord ou non d’ailleurs. De fait, quand j’écris que vous vous comportez – vous répondez – de la meilleure façon, cela signifie que vous allez vous comportez de façon automatique. C’est la cognition. Les éléments cognitifs sont constitués par tout un tas d’informations collectées par votre cerveau au fil de vos années de vie. Votre cerveau va donc, de façon automatique, sur la foi des informations qu’il détient et constituent votre personnalité, apporter ou réponse dite d’acceptation ou de refus. Cela relève du réflexe. Gestion du stress et mise en situation Imaginons que vous soyez dans la rue à Paris, en plein milieu de la journée. A un moment, alors que vous marchez, quelqu’un vous apostrophe pour vous demander son chemin. C’est en fonction d’un certain nombre d’éléments que vous allez répondre d’une façon ou d’une autre. Ces éléments sont les suivants Contexte Environnement dans lequel vous vous trouvez le lieu Perception que vous avez de cette personne, de ce qu’elle vous inspire immédiatement Émotions celles que vous vivez depuis le moment où vous vous êtes levé comme celles que vous accumulez depuis plus ou moins longtemps… Allez-vous répondre à cette personne ? Vous sentirez-vous agressé ou en confiance ? Allez-vous passer votre chemin sans répondre ? C’est donc sur la foi d’éléments psychiques et physiques, vos symptômes, que vous allez répondre, à votre façon, à cet événement. Tous les jours, votre quotidien fait l’objet de sollicitations et de réponses à l’identique du mécanisme que je viens de vous exposer. Ensuite, tout au long de vos journées, vos émotions positives ou négatives vont se cumuler les unes les autres et se confronter. Il se peut qu’à un moment, si vous n’y prenez pas garde, vous ayez un comportement totalement inadapté, voire disproportionné, par rapport à une sollicitation donnée. C’est ainsi qu’alors que vous venez de rentrer chez vous, vous êtes plus ou moins fatigué, plus ou moins tendu ou, au contraire, d’humeur enjouée voire excitée. Vous devez donc faire face à la gestion du stress et des émotions. Si vous êtes confronté à un événement soudain, vous risquez de répondre sur la foi des émotions accumulées tout au long de la journée. Pas de façon objective. La raison ? Il est difficile, à cet instant T, de canaliser le stress. Ne vous inquiétez pas, c’est normal. Le problème, c’est la conséquence émotionnelle directe pour vous, et surtout la gestion que vous allez être en capacité d’en faire. Comment réagir face à une situation stressante? En ayant une réaction plus ou moins vive, vous allez vous faire plus de mal. Vous risquez d’être encore plus stressé que vous ne l’étiez. Peut-être serez-vous décontenancé ? Vous passerez, peut-être, du rire aux larmes » sans que vous n’arriviez à comprendre pourquoi ? Dans tous les cas, vous serez perturbé. Dans tous les cas, votre réaction est la façon automatique que vous avez de vous protéger face à un cumul émotionnel constitué au fil du temps cf. escalier de la pression. Dans de telles conditions, vous pouvez craindre d’être confronté à une situation que vous redoutez. Dès lors, vous risquez d’être victime d’angoisses, d’une crise d’angoisse voire, pire, d’une crise de panique ! Gestion du stress Votre cerveau vous parle Votre cerveau vous fait penser à ce qui risque de vous arriver si vous ne trouvez aucune solution. Il doit veiller à votre survie comme à votre bien-être. Tant que votre cerveau considère qu’il y a une solution possible, il n’arrête pas de vous faire imaginer le malheur qui vous guette et les différentes situations négatives qui risquent de faire obstacles sur votre route. Cela relève de la sécrétion d’adrénaline. Cette adrénaline est une substance produite par votre corps pour vous avertir d’un danger. C’est précisément ce qui vous ordonne de mettre en place une gestion du stress adaptée pour retrouver votre équilibre. Tant que vous n’avez pas retrouvé votre équilibre, tant psychique que physique les deux sont intimement liés, gérer le stress demeure une tâche complexe et difficile. Pour autant, peut-être remarquerez vous que la plupart de vos craintes ne se confirment jamais ou alors très rarement au degré où vous les aviez auparavant imaginées. Il y a une raison simple à ce phénomène. Votre cerveau exagère les points de douleurs et de peurs dans votre imagination. Maintenir cette fonction d’alerte a pour but de de maintenir votre désir de trouver la solution. Tant que votre cerveau pense qu’une solution est possible cela repose sur la construction de votre personnalité, il n’arrête pas de développer dans votre esprit des films mentaux de plus en plus stressants. Ils ont pour fonction de vous contraindre à répondre de la façon la plus appropriée. En bref, ces films mentaux vous invitent, de façon appuyée, à mettre en place la meilleure gestion du stress possible. L’objectif est de vous motiver davantage. Ce qui a naturellement pour conséquences de vous stresser davantage ! Gestion du stress Le film mental Si vous le permettez, revenons-en à nos moutons. Sur la foi de divers articles publiés dans ce blog, je vous ai suggéré de volontairement imaginer le pire de ce qui puisse vous arriver si vous ne trouvez aucune solution à votre problème. En cas de difficultés pour administrer votre gestion du stress, vous pouvez aussi vous dire Bien, et maintenant ? Je me suis déjà préparé de mon mieux. Je ne peux rien faire de plus ». Vous agissez et pensez de la sorte tant que votre cerveau déroule ses films stressants. Passé un certain délai, lequel varie d’une personne à l’autre, votre cerveau commence à vous laisser tranquille. Les choses se passent de la façon suivante. Imaginons que votre cerveau déroule le scénario ci-après. Votre patron vous traite de minable » devant vos collègues parce que vous n’avez pas bien fait votre boulot. Vous Et quoi ? Je me suis déjà préparé de mon mieux. J’estime avoir fait mon travail. Je ne peux rien faire de plus » Ensuite, vous imaginez que votre patron vous appelle dans son bureau pour vous annoncer que vous êtes virée. Vous Vous me renvoyez pour ça ? Je me suis déjà préparé de mon mieux. Je n’y peux plus rien Toute la difficulté de ce type de comportement réponse simple, pour ne pas écrire simpliste, repose sur votre capacité, ou votre désir, de lâcher prise. Ce dernier élément est crucial et fondateur pour gérer le stress. Petit à petit, comprenant que vous ne pouvez plus rien y faire, votre cerveau lâche prise à son tour. Prenant acte que vous êtes impuissant à contrôler la situation, votre stress va diminuer jusqu’à carrément chuter. Si, d’aventure, cela ne se produit pas, cela veut probablement dire que vous avez besoin des solutions comportementales plus appuyées » pour savoir comment faciliter la gestion du stress. Une technique simple et étonnante pour faciliter la gestion du stress Si vous voulez bien gérer le stress à ce moment-là, il vous faudra, de vous-même imaginer le pire et convaincre votre cerveau de ce pire. Une fois convaincu, votre cerveau prendra acte que vous ne pouvez rien faire pour éviter le problème. Vous verrez alors votre cerveau vous laisser en paix. Partant, le niveau de votre stress chutera sans d’autres efforts de votre part. Bien sûr, convaincre votre cerveau que vous ne pouvez rien, face à la pire des situations, ne vous autorise pas à faire preuve de négligence lorsque vous vous retrouvez confrontée aux défis de votre vie. Et par conséquent, à ne pas gérer le stress de façon opportune. Gérer son stress à l’oral Par exemple, si vous devez prendre la parole en public dans quelques jours et que cela vous stresse, il ne s’agit pas de croiser les bras, et de se contenter d’imaginer le pire. Qui n’a jamais eu peur de parler en public ? Alors, comment gérer son stress en public ? Avant tout, il va donc s’agir de vous préparer, de rassembler les informations dont vous aurez besoin lors de votre exposé. Cela signifie, ordonner vos éléments de présentation, et en faire un plan clair. C’est un bon moyen de commencer à traiter et améliorer la gestion du stress. Vous donner les moyens de base de votre réussite. Continuez-vous à avoir peur malgré toutes ces dispositions prises en amont ? Sentez-vous que cette peur va vous handicaper lors de votre prise de parole en public ? Dès lors, imaginez le pire scénario, et acceptez l’idée que vous ne puissiez rien y faire. Acceptez l’augure que vous êtes impuissante à y changer quoique ce soit. Vous voulez en savoir davantage sur l’importance de la préparation ? Vous voulez appliquer cette technique au sujet d’un problème de glossophobie? Gestion du stress grâce à la respiration abdominale L’une des techniques pour gérer le stress est basée sur un exercice de respiration. A chaque fois que vous avez identifié l’un des symptômes de stress que je vous ai précisé plus haut, vous marquez un temps d’arrêt. Vous arrêtez ce que vous êtes en train de faire pour prendre un instant pour vous et vous ré oxygéner. Vous allez faire un exercice de respiration abdominale pour la gestion du stress Prenez une position assise confortable sur une chaise, les reins bien calés au fond de la chaise ; posez vos pieds bien à plat sur le sol ; relâchez vos épaules et posez le dos de vos mains sur le haut de vos cuisses à la hauteur des plis de l’aine ; fermez vos yeux ; respirez doucement par le nez ; sentez l’air frais rentrer dans vos narines à chaque inspiration ; au fur et à mesure que l’air rentre, il faut que cet air gonfle votre sphère abdominale. Une fois votre ventre rempli d’air, relâchez doucement la pression de l’air exclusivement par la bouche. Pour arriver à gonfler d’air votre ventre – pas vos poumons -, pensez à l’air qui rentre dans votre ventre quand vous avez les yeux fermés. Si vous insufflez dans les poumons, cet exercice ne vous aide pas. Recommencez cet exercice pour gérer le stress trois fois de suite. Doucement. Prenez le temps d’inspirer et d’expirer. L’air frais et son côté agréable va ré oxygéner votre sang et ainsi aider à vous désintoxiquer » de vos émotions douloureuses et négatives. Ensuite, et surtout après un événement pénible, respectez un sas de décompression. Si vous reprenez trop vite le cours de vos activités, vous risquez de ne pas bénéficier des bienfaits d’un tel exercice. Gestion du stress Prendre soin de soi Voici une autre technique de gestion du stress. Ceci est un exercice pour apprendre à gérer le stress un peu particulier. Il consiste à vous ré approprier à vous même, à vous sentir vivant. Être gentil avec vous-même et faire preuve de bienveillance à votre égard est très important. Et la raison est très simple vous devez prendre acte que vous existez ! Cet exercice de gestion du stress nécessite que vous soyez au calme. Assis, allongé ou confortablement installé au fond d’un fauteuil Fermez vos yeux, les pieds bien ancrés au sol si vous êtes en position assise ; posez le dos de vos mains à chaque pli de vos deux aines ; imaginez que chacune de vos deux mains est posé sur chaque moitié de votre front ; progressivement, imaginez que vos mains parcourent chaque moitié de votre corps, du haut vers le bas. Sur la face avant d’abord, puis la face arrière. Vos deux mains prennent le temps de glisser de votre front vers vos arcades sourcilières, puis vers vos yeux, vos joues, la bouche, le menton, votre cou. Etc. Vos mains parcourent ainsi tout votre corps, jusqu’à vos pieds. N’omettez aucun élément corporel. Prenez le temps de tous les parcourir, sans exceptions et sans excès, si vous voyez ce que je veux dire. Procédez ainsi jusqu’à vos orteils. Chaque partie de votre corps aura bénéficié du passage lent de vos mains, ou, plus exactement, du bout de vos doigts, vos terminaisons nerveuses. Tranquillement, vous allez arriver à la plante de vos pieds. Prenez le temps de les parcourir jusqu’à arriver à peu près à la moitié de votre voûte plantaire, vers l’intérieur du pied. Marquez un temps d’arrêt. Faites des ronds sur votre voûte plantaire. Comme si vous dessiniez des ronds justement. Si vous le faites comme il faut, alors que vous êtes dans votre imaginaire, vous allez avoir l’impression que vous touchez vraiment votre voûte plantaire à cet endroit. Ensuite, remontez tranquillement jusqu’à revenir à votre point de départ. Prenez le temps d’explorer du bout de vos doigts chaque parcelle de votre corps. Une fois vos mains revenues sur votre front, ouvrez doucement les yeux, et respirez. Ensuite, prenez le temps de vous relevez. Sans précipitations, rassemblez vos esprits. Visualisez ce que vous souhaitez faire et… prenez le temps d’agir. Gestion du stress La relaxation La relaxation anti stress a de nombreux bienfaits. Cet exercice a pour vocation de vous aider à reprendre acte de vous, à vous détendre. A reprendre pied avec votre existence, à revenir à vous-même. Retrouver confiance en vous, c’est essentiel. N’hésitez pas à le faire après chaque moment difficile. Cela ne vous prendra que quelques minutes. Ainsi, vous vous protégez d’une angoisse ou d’une attaque de panique éventuelle. Nous allons continuer très fort… Un autre conseil pour gérer le stress consiste à vous inviter à imaginer le pire, et à accepter l’idée de ne pouvoir rien y faire! Mais, avant d’aller plus loin, interrogeons nous sur la source du stress. Gestion du stress Comment mieux gérer son stress? Vous appliquez une technique de gestion du stress simple et salvatrice ! Cette solution pour savoir comment gérer le stress consiste, tout simplement, à envoyer la patate chaude dans le camp d’en face ! Vous ne voyez pas ce que je veux dire ? Voici quelques explications pour vous permettre d’y voir plus clair. Parfois, votre stress vient du fait que vous n’avez trouvé aucune solution à votre problème. Rappelez-vous des raisons évoquées plus haut. Par exemple, vous redoutez d’annoncer à l’autre camp » que telle ou telle situation a échoué. Alors, un seul comportement reste alors possible envoyez-leur la patate chaude! Mais, c’est quoi cette histoire de patate chaude pour savoir comment gérer son stress ? Cela consiste à tout simplement exprimer aux autres votre problème. Mais n’oubliez pas l’élément le plus important précisez-leur ce que vous avez fait pour que cela réussisse. Et ceci bien que cela ait échoué. Vous vous positionnez de façon responsable. Vous confrontez l’autre à ses responsabilités. J’ai agi. A vous de faire maintenant ». En agissant de la sorte, en vous affirmant, vous constaterez que la gestion du stress appliquée de cette façon va le faire chuter d’un coup. Vous aurez donc assez de sérénité pour gérer le stress. Vous appréhendez la situation plus facilement. Une fois de retour chez vous, si cela se passait au travail, et la nuit venue, vous ressentirez davantage de paix intérieure. Dès lors, vous pourrez vous endormir beaucoup plus facilement. Dans la même veine, supposons que vous deviez de l’argent à quelqu’un. Vous devez le rembourser demain. Sans succès, vous avez tenté de réunir la somme due, mais vous avez toutes les peines du monde à y arriver. Puisque vous le savez, il est inutile de passer la journée à vous ronger les ongles jusqu’au sang. Cela ne vous aidera pas pour autant à trouver ladite somme. Dites-le à la personne intéressée. Ensemble, essayez de trouver une solution. Gestion du stress Comment ne plus être stressée? Je viens d’évoquer avec vous une technique simple pour vous affirmer. Je conçois qu’à sa seule lecture, cela vous soit difficile. Pas de panique ! Je développe cette façon d’apprendre la gestion du stress et d’être – vous affirmer et retrouver confiance en soi – dans mon programme comportemental en ligne. Vous pouvez en découvrir la présentation grâce à la vidéo dont le lien apparaît en bas du présent article. Une question de choix Il vous appartient de cesser de subir, à vous et à vous seul. Et donc, d’agir. C’est une question de choix. Ne vaudrait-il pas mieux téléphoner à cette personne ? Lui expliquer votre situation, et lui dire combien vous êtes désolée. Voire, lui préciser la date à compter de laquelle vous pourrez réellement honorer votre engagement. Vous verrez, vous vous sentirez tout de suite beaucoup moins perturbée. Un autre exemple ? Vous redoutez d’annoncer à votre patron que vous n’avez pas conclu une vente ? De toute façon, tôt ou tard, il le saura car il posera la question. Alors, arrêtez de vous infliger la douleur de l’attente. N’oubliez pas que cette peur est facteur de cette angoisse ou de cette anxiété que l’on ressent dans ces cas-là. Réagir par la dissimulation est une façon – connue – d’administrer la gestion du stress à votre détriment. Dès lors, prenez votre courage à deux mains. Annoncez la couleur, ! Puis, dites ce que vous comptez faire pour corriger rapidement le tir. C’est aussi simple que cela. Donc, envoyez la patate chaude dans le camp de l’autre ! Assumez votre part de responsabilité dans la situation dans laquelle vous vous trouvez. Laissez le soin à l’autre d’assumer la sienne. Faites en sorte que votre problème devienne le sien. De toute façon, tôt ou tard, ce sera le sien. Et pour vous qui voulez tant savoir comment gérer le stress, il vaut mieux que cela soit le plus tôt possible. Bien sûr, ce conseil n’est à appliquer qu’à partir du moment où vous constatez que vous ne trouvez pas tout de suite une solution au problème qui vous préoccupe. Agissez avant d’être victime d’une catastrophe Peut-être craignez-vous de ne pas réussir à appliquer ces techniques pour contrôler le stress ? Peut-être avez-vous peur de ne pas savoir comment gérer le stress ? Comment satisfaire à la meilleure gestion du stress possible ? C’est plutôt bon signe ! C’est l’expression de votre désir de bien-être. Partant, celui de gérer le stress au mieux de vos intérêts. Alors, si vous avez besoin d’une aide plus appuyée, pensez à l’approche comportementale et au coaching comportemental. C’est la solution ultime pour répondre à votre besoin d’une gestion du stress adaptée à votre cas. Dans plus de 95 % des cas, cette approche comportementale aide vraiment les gens à retrouver confiance et sérénité. Gestion du stress Quels sont les meilleurs remèdes Contre le stress et l’angoisse, les médicaments ne sont pas vraiment la meilleure solution. Ils provoquent une dépendance et une accoutumance dangereuses pour la santé. Heureusement, de nombreuses autres solutions existent. Des remèdes totalement naturels qui permettent de lutter contre le stress. Ils ne font pas de miracle, mais peuvent considérablement améliorer votre quotidien si vous les utilisez régulièrement. Quand j’écris que ces remèdes contre le stress et l’angoisse ne font pas de miracles, j’insiste quant au fait qu’ils apaisent et non qu’ils permettent de traiter le stress ou de soigner l’angoisse. La cohérence cardiaque La cohérence cardiaque repose sur l’utilisation du système nerveux sympathique. C’est grâce à lui que notre cœur bat sans que vous n’ayez rien à faire. C’est lui aussi qui vous permet de respirer sans réfléchir. En effet, nous ne contrôlons pas du tout notre rythme cardiaque, mais nous contrôlons notre respiration. Puisque les deux sont liés, l’un influence l’autre. En apprenant à maîtriser sa respiration, vous calmez la vitesse des battements de votre cœur. Comme l’accélération cardiaque est une conséquence, mais aussi une cause, du stress, apprendre à le maîtriser permet de retrouver son calme rapidement. La cohérence cardiaque est facile à maîtriser. Vous n’avez qu’à vous asseoir, fermer les yeux et vous concentrer sur votre respiration 10 minutes par jour. Ensuite, utilisez cet exercice chaque fois que vous êtes stressée. La méditation de pleine conscience La méditation de pleine conscience se repose aussi sur l’observation et le contrôle de sa respiration. Elle approfondit simplement les exercices et vous invite à ouvrir votre attention à l’ensemble de votre corps et de votre environnement. Contrairement à la cohérence cardiaque, la méditation ne permet pas vraiment de réagir au stress. Face à une situation angoissante, on peut difficilement s’isoler 10 à 30 minutes pour méditer. En revanche, la pratique quotidienne de la méditation permet de travailler considérablement son attention et ses réactions. En prenant le temps d’étudier calmement votre respiration chaque jour, vous apprenez à agir au lieu de réagir. Ainsi, face au stress, vous ne perdez plus vos moyens et observez plus calmement la situation. Le sport est un moyen efficace de lutter contre le stress Le stress se traduit généralement par l’accumulation des tensions physiques et psychiques. Si ces tensions ne sont jamais relâchées, elles peuvent mener au pire Troubles anxieux Dépression Syndromes de surmenage, etc. Il est donc essentiel de se ménager des espaces dans lesquels relâcher la tension. Pour relâcher la tension physique, une activité sportive régulière est essentielle. En plus de faire du bien au corps, le sport permet de relâcher de nombreuses hormones qui participent au bien-être psychique général. Les étirements pour limiter les tensions Les étirements, tout comme le sport, libèrent les tensions musculaires et soulagent une partie de votre stress. Ils ont l’avantage de pouvoir être pratiqué un peu partout et plusieurs fois dans la journée, même quand vous êtes encore au travail. Levez-vous simplement et réalisez quelques exercices pour évacuer certaines tensions. Bien sûr, ce n’est pas une solution miracle. Si vous travaillez dans un environnement trop difficile et anxiogène, quelques étirements ne suffiront pas. Parfois, la seule solution pour s’en sortir, c’est de parler à un professionnel de santé de votre mal-être. La cure de magnésium Les carences en magnésium favorisent le stress et le développement de l’anxiété. Quand vous manquez de magnésium, les récepteurs neuronaux responsables de votre bien-être manquent des ressources nécessaires pour faire leur travail et absorber certaines hormones. Une carence excessive provoque parfois l’apparition de troubles anxieux handicapants au quotidien. Une cure de magnésium peut donc vous aider à diminuer le stress et l’anxiété. Vous devez la suivre sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Cependant, essayez d’être patiente si les résultats ne sont pas immédiats. Une fois de plus, il ne s’agit pas d’un remède miracle. Parfois, le stress est un simple indicateur d’une situation dont vous devrez vous extraire. Prenez le temps de vous écouter et essayez de vous imposer le moins de stress possible. Les infusions et les huiles essentielles Certaines plantes auraient des vertus utiles pour lutter contre le stress. Vous pouvez en consommer certaines en infusions, alors que d’autres se consomment en huiles essentielles. La lavande vraie, par exemple, se consomme en huile essentielle. Vous pouvez l’utiliser dans un diffuseur ou en poser quelques gouttes sur vos poignets quand vous vous sentez stressée. La camomille et la verveine, au contraire, sont des plantes connues pour leurs vertus en infusion. Elles vous aident à retrouver votre calme et améliorent la qualité de votre sommeil. Elles permettent donc de lutter contre certains effets du stress. Éventuellement, elles empêchent l’installation d’un cercle vicieux difficile à briser. Un meilleur équilibre alimentaire Le rôle de l’alimentation dans l’équilibre psychologique est essentiel. L’estomac contient de nombreux neurones et produit de la sérotonine, l’hormone du bonheur. L’immense majorité de cette production sert à la digestion, mais une partie est captée par le cerveau. Elle diminue donc le stress et l’angoisse. Une bonne alimentation aide au développement d’une flore intestinale bien équilibrée. Votre digestion est plus facile, mais aussi plus efficace. L’impact sur votre santé physique et psychique est considérable, même si cela implique de faire des efforts pendant un certain temps avant de percevoir les premiers résultats. Gestion du stress L’homéopathie est-elle 1 bon choix? En ces périodes troublées, ou le stress comme tout un tas d’autres problèmes psycho physiques sont légion. De fait, beaucoup de gens essaient de trouver des méthodes naturelles pour soigner le stress. C’est comme cela que certaines d’entre elles en viennent à utiliser l’homéopathie pour traiter le stress. Qu’en est-il? Quoi penser de ces traitements dits naturels? Beaucoup de médecins s’insurgent contre l’effet placébo de l’homéopathie pour traiter le stress. Les raisons avancées sont que, scientifiquement, l’homéopathie n’est d’aucun effet. En ce qui me concerne, je suis plutôt du genre à penser que si un patient soigne le stress en mettant les pieds au mur, je n’y vois aucun inconvénient. Cependant, force m’est constater qu’en matière de stress, l’homéopathie n’est que de peu d’effets. Seul un travail thérapeutique s’avère efficace. En effet, il s’agit d’aider la personne à travailler sur ses perceptions émotionnelles. Sur ses réactions. Sur l’affirmation de soi. Partant sur ses limites. Pensez que l’homéopathie règle, ipso facto, des problèmes de stress, est un leurre. C’est autant un leurre que de penser gagner au Loto dès le premier bulletin validé. Si vous souhaitez travailler rapidement, et efficacement, à la gestion stress dont vous êtes victime, la thérapie comportementale vous est d’une grande aide, comme je vous l’explique dans cet article. Par ailleurs, rien ne vous empêche d’avoir recours à l’homéopathie pour traiter le stress. Tout en suivant un programme thérapeutique et comportemental en ligne. Comment çà marche? L’homéopathie est une forme de traitement du stress apparue au 18è siècle. Son initiateur s’appelle Samuel Hahnemann. L’homéopathie consiste à soigner le mal par le mal ». Pour se faire, l’homéopathie utilise des quantités très petites de diverses molécules. L’homéopathie est considérée comme une forme de médecine douce. Essentiellement utilisée en Occident. Elle repose sur le principe selon lequel une substance, ou une situation, qui entraîne une maladie chez une personne saine, peut guérir cette même personne de cette même maladie. L’homéopathie est pratiquée par des homéopathes. Ou par certains médecins généralistes. Pour soigner une personne qui souffre de stress, on lui administre, en très faibles quantités, différentes substances diluées. Celles-ci sont d’origine végétale, animale ou minérale. Ceci, dans le but de provoquer chez elle l’ensemble des symptômes que l’on désire combattre. Le principe de la similitude est un des aspects fondamentaux de cette forme de traitement par homéopathie pour traiter le stress. Une question de molécule L’homéopathe ne prend pas seulement en compte les symptômes du stress dans le traitement. Selon le principe de la globalité, il prend en compte le profil complet du patient. Deux patients qui présentent les mêmes symptômes se voient prescrire des traitements différents. Un autre principe fondamental de l’homéopathie est celui de la dilution. Les molécules qui rentrent dans le traitement sont diluées plusieurs centaines de fois. Elles sont administrées sous forme de granules que le patient laisse fondre sous la langue. Dans le traitement spécifique du stress, voici les molécules les plus généralement prescrites en homéopathie pour traiter le stress. Le Gelsemium Serpervirens 15 CH Cette molécule est indiquée pour soulager le trac par anticipation avec inhibition. Cela permet aussi de soulager le vertige. Les tremblements. Et les céphalées. La posologie varie en fonction de la période de l’événement à l’origine du trac. Une dose peut être prise la veille. Ou le jour même de l’événement. Dans le cas d’un traitement anticipé, la prise est de 5 granules. 2 à 4 fois par jour. Dans certains cas, l’homéopathe associe les deux formes de traitement. Ignatia amara 30 CI Prescrite dans les cas où le stress est accompagné de palpitations. De spasmes. Ou encore de boule dans la gorge. Voire de spasmes abdominaux, ou de sanglots. La prise est de 5 granules. 2 à 4 fois par jour. Cela varie selon l’importance des symptômes. Pour juguler les crises subites, il est conseillé au patient de prendre une granule supplémentaire. Argentum Nitricum 15 CH C’est une molécule utilisée dans les cas où le stress est accompagné d’agitations. Ou de précipitations. Ce médicament permet de soigner les cas où le patient ressent une envie de terminer une chose sans l’avoir commencée. La posologie est de 5 granules. A prendre en situation d’anxiété ou de trac. Et à renouveler au besoin. Moshus 9 CH Recommandée pour des patients hypersensibles aux évanouissements avec une hyper excitabilité nerveuse. La prescription est de 5 granules le matin. Il est recommandé d’en reprendre en cas de réapparition des symptômes. La prise est espacée en fonction de l’amélioration des signes, ou des facteurs stressants. Sédatif PC Médicament privilégié chez le patient ayant un stress régulier. Il présente des troubles du sommeil causés par son état. La prise est de 2 comprimés. A sucer 3 fois par jour. De nombreuses polémiques existent quant à cette thérapeutique. Plusieurs études scientifiques montrent que ses effets bénéfiques sont semblables à un placebo. Ils estiment que la dilution entraîne la disparition de tout principe actif. D’autres études relèvent aussi que l’homéopathie n’est enseignée dans aucun cursus d’études médicales. Qu’elle n’est donc pas une thérapie validée par les conseils scientifiques. Enfin, les risques de rechute en cas de réussite du traitement homéopathique sont considérables. Pour toutes ces raisons, je vous invite à découvrir la thérapie brève. Elle est maintes fois reconnue et approuvée pour son efficacité. J’ai nommé la thérapie comportementale. Gestion du stress grâce à la thérapie comportementale La meilleure manière de lutter contre les symptômes du stress et, partant, de soigner l’anxiété, c’est la thérapie comportementale. Elle permet de renforcer sa résistance et de ne plus se laisser submerger par l’angoisse. Contrairement aux médicaments, ses résultats sont définitifs et vous accompagnent toute votre vie sans aucun risque de dépendance ou d’accoutumance. Donc, l’homéopathie pour traiter le stress n’est pas efficiente. A contrario, la thérapie comportementale agit vite et bien pour traiter les symptômes du stress. Puis consolider la solution comportementale mise en place. En effet, il est important que le stress dont vous êtes victime, une fois soigné, ne puisse pas reprendre sa place initiale. L’approche comportementale axe l’ensemble de ses actions sur la modification de l’attitude. En effet, l’attitude adoptée en face des situations stressantes est plus importante que les événements eux-mêmes. Selon cette thérapie, l’ensemble des réactions d’une personne provient en grande partie des expériences qu’elle a apprises au cours de sa vie. Une grande partie du comportement humain en est tout simplement le fruit. L’approche comportementale modifie l’ensemble des schémas cognitifs. Les pensées automatiques. Elles sont véhiculées par les facteurs de stress. Elles ont pour fonction de réduire leur influence sur leurs émotions, et les réactions ainsi générées. Cette restructuration cognitive conduit à une modification comportementale. Dans le processus de guérison, l’approche comportementale respecte essentiellement 5 principes. La prévisibilité Les effets de surprise ne sont pas utilisés. Il ne s’agit pas non de pratiquer des exercices d’exposition aux situations stressantes. Au contraire de la thérapie cognitive et comportementale. Le coach n’expose le patient à aucune situation de stress inattendue. Le patient prend une part active dans le processus de guérison. Il en est l’acteur principal. La progressivité Un ensemble de situations stressantes est établi avec le patient. il est fait un classement des situations les moins stressantes aux plus stressantes. Le patient examine les symptômes ressentis face à chaque situation. Ceci afin d’établir un classement fiable et exploitable à des fins thérapeutiques. La planification Il est exclu de confronter le patient à des situations stressantes. Grâce à une méthodologie spécifique, et sur la foi de l’ alliance thérapeutique thérapeute – patient, le patient choisit, quand et comment, il fait face à des situations stressantes de manière consciente. Tout est fait selon un protocole prédéfini. Cela signifie que, s’il s’agit de vous, vous savez quand et comment agir pour vous affirmer dans un contexte et un environnement donnés. Progressivement, vous mettez en place de façon des modes d’affirmation de soi. Et d’expression de la limite. IIs qui vous permettent de retrouver une image de soi positive. Ceci dans le respect des objectifs à court, moyen et long terme. Chaque situation est ainsi évaluée. Le coach place le patient en situation de vécu. Au travers de la manifestation puis de l’observation des symptômes, il s’agit de l’amener progressivement à une meilleure écoute de ses sensations, perceptions et émotions. La consolidation Par rapport à une ou des situations stressantes, il diminue les symptômes d’au moins 40 % dans un délai inférieur à 15 jours. De fait, une fois la solution au problème trouvée, et actée, il conserve cette solution. Non seulement pour qu’elle inter agisse sur le problème de façon positive et constante, mais aussi qu’elle verrouille le blocage émotionnel. Et ce d’une façon telle que vous ne craignez plus d’en être victime. Pratiquer Une pratique renouvelée à temps choisi. Plus vous êtes dans une situation vertueuse d’expérimentation progressive, plus vous développez des aptitudes pour surmonter une situation qui vous stresse. La pratique à moments choisis permet d’évaluer les symptômes ressentis. Cela permet de vérifier, par vous même, l’efficacité de l’approche. En moins de 2 mois, vous satisfaites aux objectifs de modifications comportementales pérennes. Naturellement, vous communiquez avec votre entourage personnel ou professionnel de façon plus fluide. Vous vous affirmez plus aisément. Sans stress, vous prenez votre place dans une situation donnée. Vous retrouvez de vous une image positive. Vous satisfaites à cela sans vous contraindre. De façon respectueuse de vous même. Globalement, à contrario du stress, expression de votre douleur interne et externe, vous retrouvez le plaisir d’être et de faire. En lieu et place de l’homéopathie pour traiter le stress, Souhaitez-vous bénéficier de l’approche comportementale pour soigner votre stress, en lieu et place de l’homéopathie pour traiter le stress? En ce cas, je vous invite à compléter le formulaire ci-dessous. Merci de votre confiance. Pour en savoir plus quant au traitement des symptômes du stress, comme pour retrouver confiance et sérénité, je vous suggère de regarder la vidéo ci-dessous cliquez sur l’image. Gestion du stress Le stress post traumatique Il me semble évident que les dramatiques évènements du vendredi 13 novembre 2015, font écho à la nécessité impérieuse de prendre psychologiquement en charge les survivants, leurs familles comme les amis. De fait, il s’agit d’évaluer puis gérer le stress post traumatique. Pas seulement des victimes des attentats dans le quartier du Bataclan à Paris. De toute victime d’agression ou d’accident. Ces états émotionnels violents font suite à des stress subis et perçus. Ils doivent être pris en charge peu de temps après les évènements eux mêmes. Cette nécessaire prise en charge répond à la prévention d’une décompensation émotionnelle. Elle s’impose afin d’accompagner le patient, la victime, dans une démarche qui favorise la gestion de son stress post traumatique. Partant, le retour à un état émotionnel équilibré. Le stress post traumatique comme conséquence d’une agression ou d’un accident repose sur 2 types d’intervention La première repose sur l’ESPT. Soit Évaluation du Stress Post Traumatique. La seconde est une prise en charge liée au PTSD lui même. Le Post Traumatic Stress Disorder. Gestion du stress Comment évaluer un stress post traumatique? Comme dans toute action d’accompagnement, il convient de mettre ses convictions personnelles au placard. Je le précise parce que j’entends beaucoup trop de patients me dire combien ils sont effarés par ces professionnels de la santé mentale qui leur assènent leur point de vue. Lequel point de vue minore un peu trop souvent la réalité des émotions des victimes. A ce propos, j’entends déjà les intéressés crier au scandale. Je sais. Il y a toujours des vérités qui dérangent. A la suite de toute agression, ou de tout accident, il convient de mettre en place une évaluation du stress post traumatique ESPT. Cette évaluation est particulièrement importante. Elle permet d’évaluer l’intensité et le contexte du stress post traumatique. Partant, l’évaluation du stress post traumatique permet de dresser un tableau précis du stress perçu. Ainsi, nous en savons plus sur la façon dont l’évènement s’est déroulé. Nous en savons tout autant sur les émotions perçues pendant et au cours de l’évènement. Tout comme nous savons de façon précise ce qui relève des conséquences de l’évènement. Évaluer ce stress post traumatique est particulièrement important. Non content de nous renseigner sur la physionomie de ce stress, il nous permet de dresser des priorités en terme d’intervention. Et de contenus d’interventions. De fait, c’est le support sur lequel les intervenants s’appuient pour traiter le stress post traumatique. Quand je parle d’intervenants, je pense aux professionnels suivants Psychiatre Psychologue Psychothérapeute Gestion du stress Comment gérer un stress post traumatique? Quand il s’agit de soigner un stress post traumatique, il convient toujours de s’appuyer sur des éléments tangibles et objectifs. C’est l’intérêt même de l’ESPT. Évaluation d’un Stress Post Traumatique. C’est donc sur ces éléments qu’existe le meilleur des suivis possible. Du moins, on le souhaite. Sont donc évaluées les potentialités suivantes Troubles liés à l’angoisse nocturne Angoisse matinale Angoisse de mort Troubles anxieux Anxiété généralisée. Anxiété sociale ou encore dépression. Le toute aggravé par des somatisation diverses. Dès lors, il convient de traiter le stress post traumatique par effet d’urgence. Qu’est-ce que l’effet d’urgence? Cela signifie classer à l’aide de la victime ce qui lui apparaît comme le plus important d’abord. Et le moins important ensuite. En effet, par rapport à la perception d’un stress post traumatique, chaque victime a sa vision des choses. Carte du monde traumatique qui profile ce qu’il convient de faire immédiatement. Ou non. Et ce en fonction de l’urgence exprimée. C’est à dire de la douleur induite, et de ses conséquences. Dès l’amorce de la prise en charge post traumatique, l’objectif majeur est d’éventuellement sortir le patient de sa sidération. Et, le plus souvent, de sa culpabilité. Sidération émotionnelle liée au choc de l’évènement. Culpabilité quant à une éventuelle responsabilité dans l’évènement. Je pense aux accidents. Ou culpabilité d’être une victime moins touchée que les autres. Verbaliser les émotions La prise en charge d’un stress post traumatique nécessite d’aider la victime à verbaliser ses émotions. Cet accompagnement génère, parfois, la prescription de médicaments contre l’angoisse. Ou pour vaincre l’anxiété. Je fais ici allusion aux symptômes de l’anxiété. Troubles de l’humeur. Attaque de panique. Troubles du sommeil. Réactions violentes et incontrôlée aux bruits ou à des évènements divers dans le quotidien. Nonobstant toute la pédagogies associée autour de cette prise en charge, je pense aussi à divers traitements comme l’hypnose. L’EMDR. Ou la sophrologie. Par ailleurs, il est important que la victime ne soit pas isolée. Ainsi, les partages privilégiées en groupes de paroles sont un support important. Enfin, il convient, si nécessaire, que la victime bénéficie d’exercices comportementaux divers. Ils l’aident progressivement à soigner son stress post traumatique. Maintenant, se pose la question de savoir pourquoi un tel accompagnement est impératif. La reconnaissance Il faut prévenir toute forme de réaction inappropriée. Et par souci d’humanité, il est important de reconnaître le statut victimologie des personnes victimes de stress post traumatique. Partant, de les accompagner afin qu’ils retrouvent leur vie d’avant. Agir et accompagner de sorte à ce que les victimes se réparent ». Nous leur devons dignité et respect. C’est de notre responsabilité à tous. C’est de la responsabilité de nos gouvernements que d’accompagner les victimes des choix des gens qui nous gouvernent. Cela concerne les victimes d’attentats. Les accidentés de la route. Ou les personnels de police, de gendarmerie. Tout comme les pompiers, ou les personnels médicaux. Gestion du stress Pourquoi est-il si important de traiter le stress post traumatique? Il est de ces guerres dites modernes ». Je pense à la guerre du Vietnam. Et aussi aux différents conflits au Moyen-Orient. Comme de tous les autres conflits dans lesquels des soldats des diverses nations du monde interviennent. Dans tous ces conflits, force est de constater combien les professionnels des armées sont traumatisés. Les conséquences de ces trauma sont multiples. Désocialisation. Comportements d’addictions stupéfiants, alcoolisme. Vols. Dégradations,. Agression. Et j’en passe. La société, et plus particulièrement les gouvernements, sont responsables des conséquences traumatiques générés par les conflits auxquelles ils font le choix de participer. A ce sujet, la question n’est pas de savoir si cela est ou non opportun. Cela est. Tout simplement. La société a donc sa part dans les réactions des êtres humains qu’elle envoie combattre et qui reviennent traumatisés. Gestion du stress Traitement du stress post traumatique Pour ce que j’en sais depuis des années que je pratique le suivi post traumatique, on est loin du compte en matière d’accompagnement post traumatique. Peut-être que les attentats du 13 novembre 2015 vont-ils changer la donne? En attendant, si, vous aussi, après bien des gens avant vous, vous souhaitez traiter de façon efficace et pérenne le stress post traumatique dont vous êtes victime et, ainsi, retrouver confiance en vous, je vous invite à regarder la vidéo ci-après dont le contenu vous intéresse surement cliquez sur l’image. Article rédigé par Frédéric Arminot, coach comportemental Spécialisé dans le traitement des problèmes dangoisse, d’anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, il exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste. Ancien grand anxieux, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, il a créé un programme de thérapie comportementale en ligne Le Programme ARtUS Cette méthode thérapeutique résout 16 cas sur 17, soit + 95 % de résultats. Frédéric Arminot
Qu'est-ce que l'optimisme ?Article rédigé par Laure Deflandre, psychologue L’optimisme est une doctrine philosophique d’après laquelle le monde est bon et le bien y tient plus de place que le mal ».L’optimisme n’est pas une pensée magique », mais plutôt un état d’esprit qui a de multiples bénéfices à la fois sur la santé physique et la santé c’est s’autoriser à envisager une tournure favorable aux événements et agir dans ce sens ; il est bénéfique sur le plan social, mental et sur la santé. Etre optimiste construit de bonnes relations avec autrui et rend les expériences du quotidien plus quelques bénéfices d’un état d’esprit optimiste Allongement de l’espérance de vieMoins de dépressionPlus de résistances physiquesBien-être mentalPermet de mieux gérer son stressAptitude naturelle à créer des relations plus fortesAide à ressentir un meilleur contrôle de soi et de ses choix/décisionsPermet d’entretenir une bonne estime de soi-mêmeEtre plus satisfait de ses relations et de sa viePlus de réussites dans tous les domainesEtre naturellement plus serein et plus confiantEtre plus actif C’est à partir des années 90 que les mécanismes de l’optimisme sont étudiés en neurosciences. Les données reposent sur l’effet placebo, les rémissions spontanées, les bienfaits physiologiques du rire et les conséquences du moral sur le vieillissement. Les résultats montrent que l’optimisme et les émotions agréables semblent jouer un rôle positif sur la travaux en neuropsychologie ont démontré que les événements de vie, qu’ils soient positifs ou négatifs, s’inscrivent dans le cortex préfrontal, siège de l’intégration des expériences. Chaque individu utilise une partie de son cerveau plus que l’autre. Dans l’hémisphère gauche s’inscriraient les émotions agréables, la joie. Quant à l’hémisphère droit, il serait le siège des affects négatifs tels que la tristesse, la peur, les ruminations, les pensées irrationnelles, la perte d’estime de soi, chimie, une nouvelle spécialité médicale fait son apparition la psychoneuro-endocrino-immunologie », dédiée aux relations corps-esprit. De ce postulat, en 1998, le professeur de l’Université de Pennsylvanie, Martin Seligman, lance une nouvelle discipline psychologique consacrée aux aspects positifs de l’existence, nommée la psychologie positive ». Elle fait appel aux ressources morales et au dynamisme des individus afin de développer chez eux ce qui va bien forces, capacités, qualités. L’objectif étant de développer les outils et les appliquer au plus grand nombre afin de limiter l’anxiété, la souffrance, la dévalorisation, le pessimisme. Son principe règne sur le fait qu’il ne faut pas se gâcher la vie à ressasser les problèmes, mais plutôt chercher à l’égayer en recherchant les bons côtés des choses. Elle a pour objectif de développer la capacité de donner du sens à nos actions avoir des objectifs clairs et précis et d’être responsable de ce que nous pouvons Seligman ce qui conduit au bonheur serait l’engagement dans une relation amoureuse, une famille, un travail, donner du sens à nos actions, se servir de ce que l’on a de mieux en soi pour contribuer au bien-être des autres. »Il ne faut pas toujours tout positiver mais essayer de le faire à chaque fois que cela est possible. Quelques conseils pour être plus optimiste Quelques exercices peuvent vous aider à développer un état d'esprit optimiste Noter dans un journal au moins 1 fois par semaine les événements positifs que vous avez vécus et comment vous y avez les moments de doutes, d’inquiétudes et de stress. Le fait d’écrire ses pensées et ses émotions négatives permettra d’identifier les événements déclencheurs. L’objectif étant de changer les pensées négatives de manière pas sur généraliser tout n’est pas noir ou blanc. Il existe la plupart du temps des solutions la personnalisation il ne faut pas penser que tout ce qui va mal est automatiquement de sa fauteRationaliser trouver des pensées alternatives aux pensées le catastrophisme éviter de tout dramatiserEviter les prédictions de l’avenirSe dire des choses positives à propos de soi-même de façon régulièreAvoir une bonne estime de soiEssayer de nouvelles activités, sortir de sa zone de confort » ex faire du théâtre, visiter une ville ou un pays inconnu, lire un genre de livre que vous n’avez encore jamais lu, jouer d’un instrument de musique, apprendre une langue étrangère, etcEtre plus à l’écoute des autres et de soi-mêmeExplorer son côté créatif dessiner, écrire, peindreS’entourer le plus possible de personnes optimistesSe fixer des objectifs qui ont un sens pour soi-même chaque objectif atteint, qu’il soit petit ou grand, fera gagner confiance en soi et augmentera son estime personnelle et enrichira votre vie de façon sortir, rire. S’amuser tend à être plus heureux dans sa vie et plus en bonne forme physique pratiquer du sport régulièrementManger sainementPratiquer une activité physiqueLa pratique d’activités corporelles aide à mobiliser son corps, à mieux gérer son stress, à savoir comment se relaxer, se détendre musculairement et yoga aide à se concentrer sur sa méditation augmente la conscience de soiLe développement du positivisme prend du temps, en effet, la manière de penser se construit avec le temps, l’éducation que l’on reçoit, le parcours scolaire et les expériences de la vie. Les pensées négatives maintiennent une vie routinière, empêchent de ressentir le monde et d’être bien au contact des autres. Il est important de rester ouvert d’esprit et d’être conscient de ce qu’il se passe autour de médecine et la psychiatrie ont démontré que les émotions négatives et les pensées négatives fragilisent psychologiquement les personnes. Les émotions négatives troublent notre bien-être et perturbent notre équilibre psychique. Elles dérèglent l’humeur et réveillent des et la dépression sont des pathologies psychiques qui se soignent. Si vous en souffrez, n’hésitez pas à aller consulter un médecin psychiatre afin qu’il vous prescrive un traitement médicamenteux. Aussi, consulter un psychologue pourra vous aider à traverser ces moments de désespoir et de difficultés. 100% Des lecteurs ont trouvé cet article utile Et vous ?Cet article vous-a-t-il été utile ?À lire aussi
Vous avez donc probablement une infection. Vous vous sentiez mal, vous avez consulté votre médecin, et il vous a prescrit des antibiotiques. Vous allez commencer à les prendre, et vous vous demandez quand vous allez commencer à vous sentir réponse n’est pas simple. En effet, chaque infection est différente, et de nombreux paramètres peuvent varier et influer sur l’efficacité des antibiotiques espèces bactériennes impliquées, type d’infection, réponse immunitaire, moment auquel commence la prise d’antibiotiques…Choisir le bon antibiotique si vous en avez besoinLes antibiotiques ne sont utiles que pour traiter les infections causées par des bactéries. Ils ne servent à rien dans le cas où le microbe est un virus ou un champignon. Si tout va bien, le médecin qui vous les a prescrits devrait avoir correctement évalué votre maladie, et considéré que le type d’infection bactérienne dont vous souffrez pourra être contenu par une antibiothérapie. Ce qui n’est pas le cas de toutes les infections bactériennes il est par exemple peu probable que les antibiotiques soient d’un quelconque bénéfice dans le cas d’une otite moyenne aiguë sans complication chez les patients âgés de plus de 2 ans, ou dans le cas d’une rhinosinusite bactérienne ailleurs, tous les antibiotiques ne sont pas efficaces contre toutes les infections. Il existe des antibiotiques à large spectre comme les macrolides et les quinolones, qui agissent contre un large éventail de types de bactéries. Les antibiotiques à spectre étroit ne sont quant à eux efficaces que contre certaines bactéries. Les pénicillines plus anciennes comme la benzyl pénicilline, sont par exemple utilisées pour traiter les infections causées par la bactérie à Gram positif Streptococcus pneumoniae, mais ont beaucoup moins d’effet sur les autres si un antibiotique a déjà été efficace contre une bactérie spécifique, il peut ne plus l’être, car ladite bactérie peut être devenue résistante. Ainsi, alors que la gonorrhée était autrefois traitée efficacement avec un seul type d’antibiotique, les autorités sanitaires recommandent désormais d’associer deux antibiotiques différents. Cette résistance bactérienne aux antibiotiques est un problème de plus en plus le médecin choisit-il le bon » antibiotique ? Idéalement, le choix d’un traitement se fait en combinant informations sur le patient, nature de l’infection, espèce de bactérie responsable, et efficacité de l’antibiotique choisi contre ladite espèce de la réalité est plus compliquée que ce monde idéal. Des tests de laboratoire sont requis pour identifier les bactéries en cause dans une infection ainsi que pour évaluer l’efficacité d’un antibiotique donné contre ces bactéries. Ce processus prend actuellement entre deux et quatre jours. C’est long, surtout lorsque vous êtes malade et consultez votre médecin avec l’espoir d’obtenir rapidement un traitement pour vous soulager. Des tests plus courts sont en cours d’élaboration, mais jusqu’à présent, aucun n’est capable de confirmer avec certitude l’origine d’une infection bactérienne et de déterminer l’antibiotique à utiliser en une seule visite chez le les faits, le médecin prescrit généralement son traitement en s’appuyant sur une supposition éclairée ». Après avoir évalué que votre maladie est probablement une infection bactérienne nécessitant des antibiotiques, il va prescrire l’antibiothérapie a priori la plus adaptée, sans recourir aux analyses de laboratoire. Fondée sur les signes et les symptômes du patient, les connaissances cliniques du médecin ainsi que sur sa connaissance des résistances aux antimicrobiens là où il exerce, cette supposition est très documentée. Mais elle demeure une vais-je commencer à me sentir mieux ?Le but de l’antibiothérapie est d’éliminer les bactéries pathogènes. Les antibiotiques peuvent soit tuer les bactéries on les dit alors bactéricides », soit les empêcher de se multiplier, sans nécessairement les tuer dans ce cas ils sont dits bactériostatiques ». Mais quels qu’ils soient, les antibiotiques commencent à agir dès le moment où vous commencez à les prendre, arrêtant ou ralentissant la multiplication des concrètement, si vous avez une infection bactérienne, qu’on vous a prescrit les bons » antibiotiques et que vous avez débuté votre traitement – quand vous sentirez-vous mieux ?Certaines bactéries peuvent être moins affectées que d’autres par les antibiotiques, et mettre plus de temps à y réagir. Les bactéries telles que Pseudomonas aeruginosa causent des infections qui sont notoirement difficiles à traiter. Même si l’antibiotique le plus approprié est utilisé, les infections dont elles sont à l’origine peuvent être lentes à évoluer. Chacune des bactéries qui causent la maladie contribue au malaise du patient. Moins il en restera, mieux il se ce mal-être n’est pas seulement dû aux bactéries. Le corps réagit en effet à l’invasion en déclenchant une réponse immunitaire. Or celle-ci peut s’attaquer non seulement aux bactéries responsables de l’infection, mais aussi aux tissus endommagés par l’infection, ou au deux. Ce qui est généralement à l’origine du malaise ressenti par les les antibiotiques s’attaquent effectivement à la cause sous-jacente de l’infection, d’autres réactions se produisent donc aussi dans l’organisme. Une fois que les antibiotiques ont commencé à agir, le système immunitaire doit notamment faire le ménage en éliminant les débris de bactéries mortes et les morceaux de tissus endommagés. Pendant qu’il s’affaire, le corps répare les dégâts occasionnés soit par les bactéries, soit par la réponse même si les antibiotiques font effet et que l’infection décline, vous pouvez continuer à vous sentir mal pendant un certain vous sentez moins bien ?Plutôt que de vous demander quand vous commencerez à vous sentir mieux, le plus important est peut-être de vous demander ce qu’il faut faire si vous commencez à vous sentir moins la gravité de votre infection, si votre état se dégrade un ou deux jours après le début de votre traitement antibiotique, vous devriez retourner consulter un médecin de préférence, celui que vous aviez vu la première fois. Ou même avant, si de nouveaux symptômes inquiétants à cette seconde visite, les informations dont disposera le médecin, combinées aux résultats des analyses de laboratoire qu’il aura peut-être demandé et reçus entre-temps, lui permettront de déterminer si le premier diagnostic était exact, si vous prenez le bon antibiotique, si vous en avez besoin d’un autre ou si vous n’en avez pas besoin du tout…Christine Carson, Research Associate at the University of Western Australia, University of Western Australia et Tim Inglis, Associate Professor, University of Western AustraliaCet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
Il y a des moments où on a l’impression que rien ne va. Quand on croit tout se ligue contre nous, il peut être difficile de rebondir pour retrouver le moral. Voici dix trucs pour rester positif dans les moments difficiles 1. Accepter ce qui est Vous n’avez pas le contrôle sur toutes les situations, c’est un fait. Il y a des choses qu’on ne peut changer, il faut faire avec. Prenez conscience de ce qui est, par des exercices de méditations par exemple, ou tout simplement en allant profiter d’une balade en extérieur pour faire le point sur la situation qui vous dérange. En vous reconnectant avec la nature, vous ne serez plus par des pensées qui tournent en boucle dans votre tête et vous empêchent d’être 2. Se dire que tout passe Certes, c’est difficile à faire lorsqu’on a la tête sous l’eau. Rappelez-vous de tout ce que vous avez déjà surmonté et qui vous a fait grandir. La vie est cyclique et les mauvais moments passeront. Posez vous la question dans quelques années, que retirerez-vous de la situation actuelle? Vous pouvez tenter de vous projeter dans quelques mois ou quelques années lors d’un exercice de visualisation créatrice. Imaginez la situation dans laquelle vous voulez vous trouver pour vous aider à mettre en place les actions qui vont vous permettre de l’atteindre. 3. Se recentrer sur soi Quand rien ne va, le moment est idéal pour prendre du temps pour soi. Méditez, faites du sport, aérez-vous la tête. Il vous sera alors plus facile de prendre du recul. Une nouvelle fois, une balade dans la nature, une forêt ou un parc ne peut vous être que bénéfique. Posez-vous la question qu’est-ce-qui peut me faire du bien en ce moment? Avez-vous envie de prendre le temps de lire, d’apprendre quelque chose de nouveau, de rencontrer du monde? Vous pouvez mettre en place de petites choses qui vont vous aider à vous sentir mieux et à reprendre le pouvoir sur vos problèmes. 4. Être reconnaissant Ayez de la gratitude pour ce que vous avez dans la vie. Une situation difficile est aussi l’occasion d’apprendre à relativiser. Tout autour de vous, vous trouverez des choses, des événements, des personnes pour vous êtes Prenez le temps de les apprécier, même quand tout va mal. En apprenant à votre cerveau à se concentrer sur le positif, vous le verrez plus facilement autour de vous et vous l’attirerez également plus! 5. Cultiver la pensée positive Vous êtes capables de choisir votre réaction face aux événements. Croyez en vous et en la vie. Quand rien ne va, vous avez le choix entre rester victime ou devenir responsable de votre vie. Vous pouvez subir la situation ou y puiser de la force pour rebondir. Peu à peu, vous allez comprendre que vous êtes le ou la seule de votre vie, vous décidez du point de vue que vous adoptez face aux événements qui se présentent à vous, et vous pouvez agir dessus. 6. Faire le ménage Vous avez bien lu. Pour affronter les mauvais moments, il peut être très bénéfique de faire un grand ménage chez soi, de prendre le temps de trier. D’une part, cela permet de vivre dans un endroit agréable où il sera plus facile d’y voir plus clair pour affronter les problèmes. D’autre part, la nature ayant horreur du vide, en se débarrassant de ce qui nous encombre, nous faisons de la place pour du neuf dans notre maison et dans notre vie. Le ménage est à la fois physique et mental! 7. Ne pas entretenir le négatif Pour éviter d’entretenir les pensées négatives, il vaut mieux éviter de raconter ses problèmes à tout son entourage en ressassant en permanence. Attention, cela ne signifie pas qu’il faut s’isoler! Simplement, prenez le temps de choisir la bonne personne pour parler de ce qui ne va pas, et faites le de manière à avancer, et non pas vous faire plaindre. Pour vous y aider, vous pouvez retrouver tous mes conseils dans le challenge j’arrête de me plaindre ». Si vous ne souhaitez pas en parler, vous pouvez également écrire une lettre où vous évacuerez tous vos sentiments négatifs avant de la brûler. Le tout est de sortir du rôle de victime pour reprendre le pouvoir sur votre vie. 8. S’assurer qu’on est sur le bon chemin S’il nous arrive quelque chose de difficile et qu’on a l’impression que rien ne va dans notre sens, nous ne sommes peut-être pas sur le bon chemin. Il peut être intéressant de se demander si nous nous battons pour ce que nous voulons vraiment, ce qui correspond à nos valeurs et qui nous fait vibrer. Réfléchissez à ce que vous voulez vraiment dans votre vie, à ce qui est bon pour vous même si cela ne vous paraît pas logique tout de suite. Peu à peu, vous trouverez des solutions au challenge en vous dirigeant vers votre essentiel. Pour vous aider, je vous propose de réaliser ce petit exercice – Faites une liste de vos valeurs la famille, l’amour, le bonheur, la confiance, l’indépendance, etc. – Retenez en cinq parmi votre liste – Posez-vous la question mon projet correspond-il à mes valeurs ou m’aide-t-il à m’en approcher? À partir de cet exercice, vous pourrez faire plus objectivement le point sur votre situation. 9. Créer une boîte à bonheur Trouvez un contenant qui vous plaît un bocal en verre, une boîte en bois, etc. Vous pouvez vous inspirer sur Pinterest! À chaque souvenir heureux, notez-le sur un petit papier que vous glisserez dedans. Lorsque vous n’avez pas le moral, vous n’avez qu’à en piocher un au hasard pour retrouver la joie que vous aviez ressentie! Pour varier cet exercice, vous pouvez aussi vous enregistrer un petit message vidéo que vous laissez quelque part pour le regarder à loisir et vous redonner le sourire. 10. Faire des difficultés des opportunités La vie est faite d’obstacles à surmonter et de difficultés à résoudre. C’est ce qui nous fait grandir et évoluer. En changeant de point de vue sur les moments difficile, on peut percevoir l’opportunité qui nous est offerte à travers eux. Cela peut -être une rupture qui nous fait rencontrer la bonne personne, un licenciement qui va nous décider à monter notre entreprise, le refus d’un prêt qui nous préserve d’une maison qui aurait été un gouffre financier, etc. Il y a toujours une leçon à apprendre, quelque chose à tirer pour nous aider à avancer sur notre chemin. Tout est toujours parfait, tout à sa raison d’être. Vous êtes peut-être dans une situation difficile, et ces quelques points peuvent vous aider à garder espoir. Aujourd’hui est peut-être un mauvais jour, mais rien ne dure. Je vous souhaite de trouver le meilleur dans votre vie pour vous aider à surmonter les obstacles, vous en avez le pouvoir.
comment rester positif quand tout va mal